7 juillet 2010
Les greniers
"Mes premières joies, les véritables, c'est dans les greniers que je les ai connues. Dès que je revenais de pension ou des enfants de troupe, en vacances ou en permission, j'y cavalais en douce. On pouvait toujours m'appeler, crier. C'était un refuge, un havre, mon sanctuaire, comme diraient d'autres écrivains inspirés."
Mourir idiot
Publicité
Commentaires